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    Depuis quelques années, nous prenons de plus en plus conscience du changement climatique sur Terre. En effet nous subissons un réchauffement climatique dû à l’effet de serre, d’une hausse comme représentée sur la courbe ci-dessous :


    Si l’on observe l’allure de la courbe, on peut dire qu’elle est constamment croissante. Nous voyons une prévision météorologique qui nous montre que d’ici 2020 nous aurions sur la planète 1°C en plus de la température moyenne de la Terre, ce qui paraît faible mais ne l’est en aucun cas. La preuve de ceci se remarque depuis quelques années déjà avec la fonte des glaciers en Arctique, mais également par des catastrophes naturelles voyant leurs fréquences d'apparition augmenter, comme les tornades par exemple.

    En rapport avec ce thème nous pouvons parler de cet article du journal Le Monde datant du 26 mai 2011 : https://www.lexpress.fr/actualite/monde/tornades-la-faute-au-changement-climatique_996881.html

    Cet article nous montre que déjà dès 2011 des scientifiques. On nous montre que les tornades sont depuis quelques années plus violentes, et ce depuis que le réchauffement climatique s’est considérablement élevé avec l’effet de serre et la pollution.

    Des modèles climatiques ont montré que les latitudes hautes regroupant les zones polaires et tempérées ont un réchauffement proportionnellement plus élevé, en particulier l’Arctique (réchauffement 2 à 4 fois plus élevé que la normale). Les zones tropicales et équatoriales ont un réchauffement moins intense, ce qui a pour effet de diminuer le gradient Nord-Sud (la différence en °C moyenne). On observe en effet que l’Arctique a une température moyenne de 4°C plus élevée que la normale, alors que l’Antarctique a en moyenne une température de 0,8 °C plus élevée que la normale. On peut donc émettre l’hypothèse que ce changement de gradient a un effet sur la circulation des masses d’air. Cependant cette théorie n’est pas encore validée. D’après les chercheurs d’une équipe internationale de climatologie dont Dim Coumou, Giorgia Di Capua, S. Vavrus, L. Wang et  S. Wang; les systèmes de déplacement d’air en été s’affaiblissent. Cette équipe a remarqué que le jet stream (un courant d'air rapide et confiné) a un trajet de plus en plus dévié et de moins en moins intense. La circulation des masses d'air est plus lente, ce qui a pour effet une durée rallongée des phénomènes climatiques, engendrant donc des dégâts plus importants. Quant à l’intensité des événements, elle est plus forte même si ces événements seront moins nombreux.


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